L’E-cigarette : un instrument politique
Bien avant le vote des eurodéputés à Strasbourg qui s’est tenu le 8 octobre dernier. L’usage et la promotion de l’e-cigarette devant les médias sont assurément un geste politique. Et même si le front national ne veut pas aborder le sujet. L’objet reste un parfait instrument politique pour certains.
L’E-cigarette, une législation vide
Si l’État avait pour ambition d’encadrer la cigarette électronique, sur laquelle la législation est encore vide ou floue, en la classant dans la catégorie « médicaments » à l’exemple des patchs. D’après la loi française, le produit n’aurait pu être vendu qu’en pharmacie. Cette restriction ou interdiction a été contestée par plusieurs médecins, des vapoteurs ainsi que des vendeurs. Une interdiction qui obligerait à suivre des longues procédures d’autorisation de mise sur le marché. Le Parlement européen a finalement décidé de rejeter l’amendement. L’un des trois eurodéputés FN, Bruno Gollnisch avec Jean-Marie Le Pen et Mariane Le Pen, ont affirmé l’avoir rejeté, mais aussi avoir voté contre le texte dans son ensemble, qui a lui approuvé 560 voix contre 92 et 32 abstentions.
L’industrie du tabac ruiné par l’E-cigarette
« Ce texte est extrêmement contraignant », a-t-il soupiré, le député dont l’amendement fut élu. Il expliquait par la suite son vote « non ». «C'est comme quand le gouvernement veut mettre des panneaux à 50 ou 120 km/h. Qu'on interdise la bagnole! Qu'on interdise le tabac et il n'y aura plus de cancer du poumon! Je suis un ancien fumeur qui a eu des problèmes de santé. Mais on a ruiné l'industrie du tabac et les planteurs de tabac en France. On a tué la Seita. À Lyon, la manufacture du tabac est devenue un local universitaire. À Strasbourg, elle n'existe plus!» Par ailleurs, il regrettait le manque de libertés accordées au vapoteur notamment sur l’utilisation de la cigarette électronique dans les lieux publics. La version amendée de la directive est paradoxalement très restrictive que l’e-cigarette que la cigarette classique. L’e-cigarette qui actuellement, connaît une expansion énorme sur le marché. Le continent européen et les États-Unis sont les premiers sur la liste en tant que consommateurs et producteurs suivi par la Chine. L’Office français de prévention du tabagisme (OFT) estime que d’ici la fin de l’année 2013 on attendra le million de vapoteurs et les 100 millions d’euros de chiffre d’affaires en France. Cependant, l’étude de 60 millions de consommateurs publiés en début mois d’août, évoquant la présence de substances cancérigènes dans les e-cigarettes, a semé le doute si bien que certaines personnes sont susceptibles par rapport à cela. Ainsi, l’État français est en train d’étudier une éventuelle taxe sur le vapotage en public, mais qui ne sera pas publié avant 2017, car ce texte devra d’abord être approuvé par les 28 États membres. De l’autre côté, l’AFNOR a déjà lancé depuis le début de septembre la procédure pour la traçabilité du produit. Or, l’obstacle majeur étant la localisation des bases des entreprises fabricateurs de ces produits, qui se trouve notamment en Chine. Ce qui rend la traçabilité du produit depuis la production jusqu’à la commercialisation difficile.
Pourquoi l’e-cigarette est fort appréciée en France ?
Légalement, l’e-cigarette n’est pas considérée comme un moyen d’arrêter de fumer comme peuvent l’être certains médicaments et patchs trouvables en pharmacie. Pourtant, nombreux sont les fumeurs qui se tournent vers elle pour en finir avec leur consommation de tabac.
L’E-cigarette : un vrai succès
Depuis 2010, ce qui était avant considéré comme un simple gadget a gagné le cœur des Français et on compte à présent plus de 500000 consommateurs en France. De nombreuses raisons poussent les gens à arrêter la cigarette en passant à la version électronique surtout les grands fumeurs. Tout d’abord si l’E-cigarette est forte appréciée, c’est parce que le produit est technologique et intéresse tout le monde. En effet, le produit est devenu même une mode et une tendance surtout chez les ados. Ensuite, il s’avère que la cigarette électronique est moins nocive et bien meilleure pour la santé que les simples cigarettes classiques, et que ça peut réduire la consommation de nicotine. Enfin, les Français apprécient la cigarette électronique, car c’est moins cher, donc permettent de faire plus d’économie. À noter aussi que l’une des raisons qui poussent les gens à vapoter ce sont la saveur et le gout des e-liquides qui sont aussi gourmands qu’appétissants.
La cigarette électronique a connu pendant ces dernières années un très grand succès. Les consommateurs n’ont pas cessé de s’accroitre et les fournisseurs et distributeurs du produit également. Même si la vente de la cigarette électronique n’a pas encore été légalisée officiellement, cela n’empêche pas les gens de vapoter et d’apprécier la cigarette autrement. Le sujet intéresse les politiciens, les experts sanitaires et les médias qu’il est loin d’être clos.
En matière de vapotage, choisir le meilleur des e-liquides
L’e-liquide est le liquide introduit dans l’atomiseur de la cigarette électronique pour être ensuite chauffé et émettre de la vapeur. Ce liquide est donc important, car sans ce liquide on ne peut inhaler de la vapeur et la cigarette électronique ne servira à rien si on ne la recharge pas avec de l’e-liquide. Les consommateurs de cigarette électronique sont aujourd’hui exposés à de diverses marques d’e-liquides qu’ils ne savent plus distinguer les bons des mauvais. En effet, vu que le marché du produit connait une forte ascension, c’est donc un grand business que tout le monde s’y met et par conséquent les boutiques en ligne et les magasins de rue distributeurs sont de plus en plus nombreux. Le choix de l’e-liquides est primordial car c’est dans l’e-liquide que se trouve le gout de la vapeur. Par exemple si on choisit de l’e-liquide au gout sucré on inhale de la vapeur gout sucré.
Pour pouvoir vapoter, il est nécessaire de choisir des e-liquides de qualités comme les e-liquides liqua par exemple qui fait partie des meilleures sur le marché actuellement. Une e-liquide de qualité se distingue par la diversité de ses saveurs ainsi que ses ingrédients de fabrication. En général, les ingrédients de bases pour la fabrication d’une e-liquide sont : le propylène glycol, la glycérine végétale, l’arome, la nicotine, l’eau et l’alcool. Ces ingrédients doivent être choisis avec délicatesse pour obtenir un produit de qualité et pour pouvoir satisfaire au mieux les attentes des consommateurs.
Les e-liquides à nicotine sont interdites en Suisse
Si les députés européens ont décidé de voter pour permettre la vente de la cigarette électronique dans d’autres boutiques autre que la pharmacie. La Suisse, elle par contre interdit tout accès aux recharges contenant de la nicotine.
Les e-liquides à nicotine n’existent pas en Suisse
Les vapoteurs européens semblent être tranquilles depuis le résultat du vote sur la directive de la cigarette électronique en tant que tabac, qui s’est révélé positif pour ces derniers, ont été annoncés. Le contexte n’est pas le même dans le cas de la Suisse. En effet, les vapoteurs suisses doivent se déplacer à l’étranger afin de procurer des e-liquides à nicotine. Pour cause, l’État suisse ne permet pas que des e-liquides à nicotines s’introduisent dans leur territoire d’après l’ordonnance sur les denrées alimentaires interdit en effet les additifs avec des effets pharmacologies, comme la nicotine. À l’addition de ceci, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) met en garde sur l’utilisation de ces cigarettes électroniques du moment que des études concrètes portant sur les risques à long terme sur la santé ne seront pas effectuées. Alors que certains politiciens suisses veulent adoucir la directive. « Les règles actuelles sont indociles », avoue Lukas Reinmann, conseillez national UDC saint-gallois. D’une autre tournure, il a déclaré que l’interdiction de l’introduction des e-liquides à nicotine en Suisse ne fait qu’enrichir les pays étrangers, pourquoi ne pas donner le marché aux acteurs intérieurs. Felix Gutzwiler, spécialiste en médecine préventive et conseillée aux États zurichois PLR, pense qu’il faut s’adapter aux normes européennes, car les consommateurs sont libres de se procurer ce produit tout près de chez eux et de plus ils sont responsables de leurs actes.
Les e-liquides à nicotine : un danger pour la santé
Un conseiller aux États socialistes soleurois Roberto Zanetti affirme qu’il s’agit de la santé publique. Cependant, il n’accorde pas le bénéfice du doute aux experts tant que ces derniers ne présenteront pas une conclusion précise et concrète que l’E-cigarette est un outil pour les fumeurs d’arrêter de fumer. Mais cet argument est tout de suite rayé par Felix Gutzwiler, d’après lui les e-cigarettes sont moins dangereuses au niveau du poumon par contre la nicotine crée toujours un risque de maladie cardio-vasculaire. Le débat continu avec Maja Ingold, députée zurichoise évangélique, elle s’oppose directement à cette proposition de Lukas Reinmann. « Il est vrai que les dégâts provoqués par l’e-cigarette au niveau des poumons sont moins importants que ceux avec la cigarette classique, mais de là à dire qu’elle est inoffensive, je ne suis pas d’accord. Elle présente effectivement des risques pour la santé, ça, on ne peut pas le nier ». Donc, l’autorisation de la vente des e-liquides à nicotine ne devrait pas être accordée. Pour elle, c’est une dissidence. Et en ce qui concerne les consommateurs qui est obligé de se déplacer à l’étranger pour s’approvisionner, elle ne trouve aucune objection, de plus « les gens y vont surtout pour question de prix » a-t-elle confirmé.
L’E-cigarette : vapin’Liberty
Des dizaines de vapoteurs se sont réunis à Paris la semaine dernière afin de lancer une manifestation de défense de la cigarette électronique. En effet, l’Union européenne menace de réduire ou de limiter la commercialisation de la cigarette électronique.
Vapoter l’E-cigarette en toute liberté
Le président de Cace, Michael Hammoudi a lancé un appel à tous les vapoteurs et utilisateurs de l’e-cig à manifester le 7 octobre prochain à Strasbourg. En effet, c’est la veille durant laquelle l’Union européenne va voter une loi-tabac qui pourrait classer la cigarette électronique à un remède ou un médicament comme tout autre produit pharmaceutique. Ce leader de la manifestation a affirmé que jusqu’ici aucun règlement autour de l’ E-cigarette et sa classification parmi les produits de consommation n’existe. Étant des professionnels dans ce domaine, nous avons fait part de nos idées concernant l’encadrement de la distribution de l’e-cig au gouvernement. En dépit des rumeurs qui circulent partout sur la présence des substances toxiques sur la cigarette électronique, on reste optimiste que la vente d’e-cig est une affaire qui marche. Le président de l’Office français de prévention du tabagisme (OFT) a partagé son avis dans un communiqué que la cigarette électronique ne doit pas figurer parmi la famille du tabac et subir les mêmes règlements, car ce sont deux choses très différentes. On reconnaît que ce gadget ne peut pas être classé parmi les produits de consommation courante, a-t-il dit. Mais l’idée d’appliquer une réglementation de vente qu’au niveau des pharmacies, est tout à fait impossible pour le cas de la France. La raison est simple, les utilisateurs de l’e-cigarette vont tout simplement rechuter dans le tabagisme que l’on a tant combattu depuis des années puisque la cigarette classique est en libre vente. D’où le thème des pancartes des manifestants « vapin’liberty » qui signifie vapoter librement.
Les vapoteurs de l’E-cigarette se révoltent
La cigarette électronique est désormais devenue la cigarette révolutionnaire des vapoteurs. On en croit pas que ce petit gadget a pu réunir toutes ces personnes sans parler des autres vapoteurs dans les autres pays. En effet, les associations des fabricants, des distributeurs et des consommateurs ont révolté afin de défendre l’e-cig ou la cigarette slim face à la menace de l’union européenne, présidée par Brice Lepoutre. Même si ceci ne se trace pas sur leurs visages, les vapoteurs ont peur de la suite de l’histoire, voilà pourquoi ils sont très déterminés à faire leur manifestation. L’ironie dans cette histoire est la position de l’État français qui gagne environ 80% du profit tirer à partir du marché de tabac. Les divers propos au sujet de l’e-cigarette publiés à travers des différents communiqués ne sont que de la publicité négative qui veut faire chuter le marché de l’e-cigarette ; si bien que la vente de cette dernière a récemment connu beaucoup de succès. Malgré tout ça les consommateurs restent convaincus que la cigarette électronique est moins dangereuse que la cigarette classique qui est constituée par plusieurs substances chimiques et toxiques pour la santé. Ainsi, il faut juste savoir choisir les bonnes marques comme le Liqua sur frenchsmoke et modérer sa consommation.